"Les Anciens enduisaient les statues de bitume, ce qui rend encore plus étonnant qu'on se soit plu ensuite à les recouvrir d'or."  Caius Plinius Secundus dit  Pline l'Ancien.

Toni Grand

Avignon Exposition 1978.

Édition tapuscrite de l'exposition Viallat Claude/Grand Toni

Résumé
Le mode de relation à l'objet peut être décrit en se référant à l'expérience du sujet. La desoription de l'ulilisation d'un objet comporte la prise en considération de la nature de l'objet. Je propose de discuter les raisons pour lesquelles, selon mol, une capacité d'utiliser un objet est plus compliquée que la capacité d'établir une rolation aux objets.
Si la relation peut porter sur un objet subjectif l'utilisation, elle implique que l'objet fait partie de la réalité extérieure.
On peut observer la séquence suivente : 1) le sujet se relie à l'objet. 2) L'objet est en train d'etre trouvé au lieu d'être placé dans le monde par le sujet. 3) Le sujet détruit l'objet. 4) L'objet survit à la destruction. 5) Le sujet peut utiliser l'objet.
L'objet est toujours en train d'être détruit. Cette destruction devient la toile de fond inconsciente de l'amour d'un objet réel; c'est-à-dire un objet en debors de l'aire de contrôle omnipotent du sujet.
L’étude de ce problème comporte une estimation de la valeur positive de la destructivité. La destructivité, a laquelle s'ajoute la survivance de l'objet à la destruction, place celui-ci en dehors de l'aire des objels établis par les mécanismes projectifs mentaux du sujet. Ainsi se crée un monde de réalité partagée que le sujet peut utiliser et qui peut envoyer en retour dans le sujet une substance autre-que-moi.

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